Lac des Rouges-Truites et Lac à la Dame
Lac-des-Rouges-Truites
Lac des Rouges-Truites et Lac à la Dame
Difficile
Difficulté3h
Durée10,9km
Longueur+203m
Dénivelé positif-207m
Dénivelé négatifBoucle
Type de parcoursPR® (Promenades et Randonnées)
RéseauEmbarquer cet élément afin d'y avoir accès hors connexion
Les 23 patrimoines à découvrir
- Milieux naturels
La tourbière
Ce milieu très fragile est tout à fait exceptionnel. Formé à partir de végétation morte mal décomposée par manque d’oxygène, ce sol gorgé d’eau offre un habitat unique aux espèces qu’il abrite. Ces dernières sont très adaptées à ce milieu et ne pourraient pour la plupart pas vivre ailleurs. La tourbière du Lac-des-Rouges-Truites en héberge un grand nombre. Notons par exemple les espèces rarissimes que sont sphagnum obtusum: une sphaigne, mousse des tourbières, qui n’existe en France que dans une tourbière du Cantal et ici; ainsi que le Vertigo édenté, un tout petit escargot qu’on croyait disparu de France avant de le retrouver, seulement ici, en 2014. - Forêt
A qui appartient la forêt ?
Au niveau national, pour 75 % de la surface, elle appartient à des propriétaires privés, plus de 3 millions de personnes, des gens comme vous et moi et le reste, ce sont les forêts des communes ou de l’Etat. Quand nous nous promenons dans une forêt, nous sommes toujours chez quelqu’un! Cette diversité de propriétaires explique aussi la diversité des paysages que nous offrent les milieux forestiers. La loi, à travers le Code Forestier réglemente les grands principes de gestion mais leurs applications sont nombreuses.LE COIN DES ENFANTS Comment sait-on où s’arrête la forêt que l’on possède? Lorsque l’on arrive à une limite de propriété, on peut trouver une borne, généralement en pierre, ou des marques faites à la peinture sur les arbres par des personnes ayant le droit. - Forêt
Nos forêts sont-elles en danger ?
Avec nos besoins en bois croissants et le réchauffement climatique, nos forêts sont-elles en danger? Oui et non. La forêt telle que nous la connaissons évoluera sûrement beaucoup d’ici une centaine d’années. Le réchauffement climatique entraine des changements sur les températures, la disponibilité en eau, la fréquence des catastrophes naturelles, ce qui oblige les forestiers à bien choisir les essences à exploiter, en fonction des secteurs les plus adaptés à leur croissance. En effet, les arbres doivent se développer entre 60 et 120 ans, selon les essences, pour produire du bois de qualité.LE COIN DES ENFANTS Pourquoi dit-on que la forêt est le poumon de laTerre? Lorsque les plantes respirent la journée, elles aspirent le CO2 et rejettent de l’oxygène dans l’atmosphère. La forêt stocke le CO2 dans le sol et tout au long de leur croissance, les arbres stockent le CO2 dans leur bois.. En parallèle, ils filtrent aussi l’eau du sol, grâce à leurs racines. - Flore
L'épicéa
Conifère largement répandu en Europe, cet arbre est par excellence celui des régions montagnardes... Certains bois de très bonne qualité peuvent être utilisés en lutherie pour fabriquer des tables de résonance de différents instruments (violon, guitares...). Mais l’essentiel de la production sert au bois d’œuvre (construction et menuiserie). Il est souvent confondu avec le sapin. Mais l’œil attentif verra une différence dans les aiguilles, pointues chez l’épicéa, plates et arrondies chez le sapin ou à la position des cônes (pommes de pins). Ceux de l’épicéa sont dirigés vers le bas au bout de branches tombantes, tandis que ceux du sapin pointent vers le haut au bout de branches dressées. - Faune
La bécassine des marais
Bien qu’il soit possible d’observer plusieurs oiseaux d’eau dans ce secteur, la Bécassine des marais figure parmi les plus emblématiques. Cet oiseau migrateur apprécie les milieux humides où il peut se cacher et se nourrir. Son bec long et fin est doté d’une extrémité flexible qui lui permet de sentir ses proies dans l’eau ou la boue, près de la haute végétation du rivage. Cela lui permet de se nourrir majoritairement d’invertébrés. Aujourd’hui la Bécassine des marais est une des espèces nicheuses les plus rares et les plus menacées de France. Mais ici, une oreille attentive aura peut-être encore la chance d’entendre le «chevrotement», son émis en vol lors des parades nuptiales, au crépuscule des mois de printemps. - Histoire et Patrimoine
Le mystère des Rouges Truites
La rumeur a donné naissance à quatre versions pour tenter d'expliquer l'origine du nom Lac des Rouges Truites :
- Poétique : chaque soir, lorsque le soleil se couche, les truites prennent la couleur pourpre de ses reflets sur le lac.
- Pratique : les truites y sont saumonnées.
- Physique : l'eau contiendrait de l'oxyde de fer.
- Militaire : le lac aurait été le terrain d'une bataille sanglante.
- Milieux naturels
L'exploitation des tourbières
Le manque d’oxygène dans une tourbière empêche les plantes mortes de se décomposer. Cela forme une accumulation de matière organique, créant alors une sorte de terre spongieuse qu’on appelle la tourbe. Autrefois, elle était extraite par briques et séchée à la belle saison. On l’utilisait comme combustible dans le poêle à une époque où le bois a manqué dans le Jura. Cette exploitation a duré plusieurs siècles. De profondes fosses restent visibles dans les tourbières du Jura, favorisant l’assèchement de la tourbe qui n’a pas été exploitée. - Forêt
L'histoire de nos forêts
Les forêts ont de tout temps été utilisées par l’homme pour la chasse, la cueillette, le chauffage, la construction… Ce fût Louis XIV qui instaura le Code forestier pour réguler l’exploitation des bois. Dans le Haut-Jura, les moines défricheurs ont d’abord façonné la forêt en la défrichant et l’exploitant, permettant ainsi l’installation de la population et le développement des vallées. Aujourd’hui, la forêt est exploitée mais a aussi pour but de préserver le paysage, de fixer les sols, en limitant leur érosion et les chutes de pierre.LE COIN DES ENFANTS L’ambiance sombre et mystérieuse de la forêt a inspiré de nombreux contes et histoires. Lesquels connais-tu? Les contes racontés aux enfants, comme le petit poucet, blanche-neige, le petit chaperon rouge. Mais aussi les grands romans du moyen âge, comme la légende du roi Arthur, le roman de renard, et des livres plus contemporains. - Faune
La Buse variable
Parmi les rapaces présents sur le Mont-Noir, la buse variable est probablement le plus facile à observer. Son habitat est très varié. Le nid est construit sur un arbre, souvent dans les bois.Les prairies et les marais lui servent de terrain de chasse. Sa nourriture se compose majoritairement de petits mammifères, mais aussi de reptiles, batraciens, et insectes. Pour chasser, elle doit d’abord localiser ses proies: soit en faisant des cercles dans les airs jusqu’à une centaine mètres au-dessus du sol, soit en restant de longs moments perchée à l’affût. - Flore
La Roselière
Essentiellement composée d’une végétation haute, dominée, comme son nom l’indique, de roseaux, elle sert d’abri aux oiseaux et insectes, comme les canards et les libellules. Les roseaux morts sont souvent les principaux éléments constitutifs lors des formations des tourbières du Jura. C’est une plante très résistante, avec des racines profondes et qui s’acclimate facilement dans ces marais. Dans certaines conditions, les roseaux peuvent devenir «envahissants», et se propager sur la tourbière, «étouffant» les autres plantes plus basses. Les évolutions du climat et les pollutions atmosphériques semblent le favoriser. - Faune
Le Canard colvert
Bien que très connu, le canard colvert sait rester discret et se cacher entre les roseaux quand il le faut. Cet oiseau possède une excellente capacité d’adaptation, et est le spécialiste du décollage rapide s’il se sent menacé. Sa vitesse de pointe peut même atteindre les 80 Km/h ! Visible dans tout tous types de milieux humides, les roselières restent un endroit privilégié car elles fournissent un abri pour lui et sa famille. Généralement il se nourrit de graines et de plantes, mais il lui arrive de chasser des petits mollusques invertébrés à la surface de l’eau. A noter que mâles et femelles possèdent un plumage différent. - Forêt
La certification des forêts
Pour valoriser la bonne gestion de la forêt, un label a été créé pour garantir la provenance des bois transformés lors de la fabrication des produits. Ainsi, vous pouvez parfois voir sur les emballages un logo PEFC® ou FSC®, qui indique une gestion durable et respectueuse de des forêts d’où provient la matière première.LE COIN DES ENFANTSSur quels produits as-tu pu voir ces labels? Sur la majorité des emballages cartons ou papier, mais aussi sur tous les objets façonnés à partir du bois. N’hésite pas à regarder la prochaine fois! - Forêt
Les essences de nos forêts
Les essences de nos forêts de montagne. Les forêts du Haut-Jura sont surtout constituées de sapin et d’épicéa. Des hêtres, des sorbiers, alisiers blancs,érable sycomores et frênes apparaissent de temps en temps. Ils sont principalement récoltés pour du bois de chauffage mais peuvent aussi fournir du bois précieux pour des usages nobles (menuiserie, lutherie, etc).LE COIN DES ENFANTS Sapin, épicéa: c’est pareil ou pas? Et bien non!! Regarde bien les aiguilles, si elles sont installées tout autour de la branche, qu’elles sont piquantes et rondes, c’est un épicéa. Et si elles sont installées à plat sur la branche, avec 2 traits blancs en dessous, c’est un sapin! - Histoire et Patrimoine
Hameaux et voisinage
Support de la mémoire familiale et repère géographique, la maison s’inscrit dans un réseau de voisinage et d’interconnaissance parfois très fort. Certaines fermes ou terrains ont donné le nom d’un ancien occupant lorsque celui-ci fut un personnage marquant. Dans un contexte d’habitat dispersé, où les hameaux sont éloignés les uns des autres, les caractéristiques particulières de l’environnement naturel, ou même d’histoires personnelles génèrent aussi leurs toponymes: Sous le Mont Noir, Grange à l'Olive… - Histoire et Patrimoine
La légende de la Dame du lac
Les pays de lacs sont hantés par de nombreuses légendes: fées, cavaliers et sorcières flottent au-dessus de leurs eaux mystérieuses. Plusieurs légendes sont à l’origine du nom du «lac à la Dame». L’une d’entre elle dit que ce petit lac a été creusé par le mystérieux cavalier qui errait au dessus des lacs de Bonlieu, des Maclu et de Narlay, à la demande d’une femme dont il était amoureux. En échange de cette faveur, elle se donnerait à lui corps et âme. Par temps brumeux, peut-être apercevrez-vous flottant sur le lac la longue robe blanche de la Dame! - Histoire et Patrimoine
Les larmiers du chalet
Destinés à la ventilation du "laitier", pièce où le lait était mis à refroidir avant sa fabrication en fromage, les larmiers sont des ouvertures verticales étroites et longues que l'ont peut observer sur les façades des anciennes fromageries comme içi aux Monnets.
Au hameau du Coin d'Aval, sur la commune de Fort-du-Plasne, se visite en été un ancien chalet (ou fromagerie). - Histoire et Patrimoine
Les larmiers du chalet
Destinés à la ventilation du "laitier", pièce où le lait était mis à refroidir avant sa fabrication en fromage, les larmiers sont des ouvertures verticales étroites et longues que l'ont peut observer sur les façades des anciennes fromageries comme içi aux Monnets.
Au hameau du Coin d'Aval, sur la commune de Fort-du-Plasne, se visite en été un ancien chalet (ou fromagerie). - Flore
Caractéristiques de la flore des tourbières
Les espèces vivant dans les tourbières se sont adaptées à l’omniprésence de l’eau, aux faibles ressources nutritives, à la composition chimique du sol, qui, dans les régions calcaires, peut être acide ou basique et à un climat plutôt froid. - Flore
La linaigrette
La linaigrette, sorte de coton-tige au plumeau blanc, se repère facilement dans les tourbières. Ses racines longues d’un mètre lui permettent de stocker des réserves nutritives, car le sol est très pauvre en minéraux. C’est une plante adaptée à un climat boréal (froid). Elle était répandue dans toute l’Europe il y a quelques milliers d’années. Puis le climat s’est réchauffé; elle n’a survécu que dans les pays scandinaves et dans les tourbières, où aucune autre n’est capable de lui disputer sa place. - Faune
Le Milan royal
Ce rapace se reconnait très facilement par sa longue queue échancrée. Grâce à son envergure imposante, cet oiseau s’avère être un formidable planeur. Il cherche sa nourriture en vol. Opportuniste, il observe attentivement le sol pour y trouver rongeurs, lézards ou autre carcasse d’animaux morts. Les petites proies (insectes, lombrics ou reptiles) peuvent être chassés en marchant dans les prairies. Vous apercevrez ainsi souvent le Milan royal au-dessus des prairies fraichement fauchées. - Histoire et Patrimoine
Vue sur l'ancienne fromagerie
A partir du 18ème siècle, la spécialisation fromagère et la mise en commun du lait dans les structures coopératives que sont les fruitières, font sortir l'agriculteur d'une économie d'autosubsistance. La production fromagère, de mieux en mieux organisée, devient aussi de plus en plus lucrative grâce aux réseaux commerciaux promus notamment par les rouliers. Ces commerçants livraient les fromages dans les grandes villes françaises, notamment Lyon. - Flore
La forêt du Mont Noir
Avec ses 1873 hectares, le massif du Mont-Noir est l’une des plus grandes forêts jurassiennes. Elle est essentiellement constituée d’arbres aux feuillages sombres, tels que le Sapin, l’Épicéa et le Hêtre, d’où l’origine de son nom. Cerfs, sangliers et chevreuils y cohabitent avec le Lynx et le Grand Tétras. L’exploitation du bois est une activité économique importante pour nos montagnes. La forêt accueille aussi des randonneurs qui effectuent de longues marches sur ses sentiers balisés. Partagez cet espace et restez prudents si vous croisez des exploitations forestières. - Milieux naturels
Vue sur la tourbière du lac des Rouges Truites
Héritière des glaciers qui couvraient le Jura il y a dix mille ans ayant laissé des moraines aux fonds imperméables, une tourbière se forme lorsque ces fonds se remplissent d'eau stagnante, peuplés de végétaux résistants au froid. Le sol mouvant des tourbières est un épais tapis de sphaignes, sur lequel quelques plantes particulièrement adaptées peuvent croître (canneberge, linaigrette, andromède, drosera, pin à crochet...). L'intérêt biologique rend donc important la préservation de ces milieux fragiles.
Description
- Au départ du « Bugnon », tourner à gauche. La piste dessert « Fontaine aux Cernois » et conduit « Sous le Mont Noir ». Prendre la route à gauche et arriver au poteau « Le Maréchet ». > Tour du lac des Rouges-Truites (variante courte : niveau très facile, 6 km, 2 h) : prendre la piste empierrée à gauche (ancienne voie du tram). Elle longe le ruisseau, le lac et le site des tourbières. Emprunter la D 437 à gauche sur 170 m et retrouver « La Gare ». À droite, rejoindre le parking.
- Partir à droite et rester sur l’ancienne voie du tram moins visible sur 200 m afin de traverser la D 437. Continuer par le chemin communal en face. Il s’incurve à droite. Au jalon, monter par le sentier à gauche dans le pré en direction du « Crêt Pelé ». Poursuivre vers le nord, franchir le passage dans la lisière, descendre la côte des Genissets et emprunter à droite la D 62. Passer « Les Genissets ». Dans le virage, continuer par le chemin en face.
- Au poteau « Les Fumey », tourner à gauche, couper la D 62, continuer par la route. Elle traverse Les Fumey.
- Continuer par la route qui contourne le lac à la Dame. Après 1,7 km, s’engager à droite sur le chemin bordé de haies et gagner « Les Monnets ». Prendre la rue maisonnée de gauche, puis virer à gauche et descendre vers « Les Voigneurs ». 100 m plus loin, bifurquer sur le chemin qui monte à droite.
- À « La Corne », longer à droite la ligne de crête (vue sur les deux vallées). À l’aplomb du réservoir, un jalon signale l’entrée dans le bois des Crêts. Continuer sur la crête et aboutir au poteau « Le Crêt ».
- Prendre la route à gauche pour rejoindre le carrefour de la Mairie, descendre la rue des Thévenins jusqu’à « La Gare ».
- Poursuivre tout droit jusqu'au "Bugnon".
- Départ : Lac-des-Rouges-Truites
- Arrivée : Lac-des-Rouges-Truites
- Communes traversées : Lac-des-Rouges-Truites, Fort-du-Plasne et Foncine-le-Bas
Météo
Profil altimétrique
Zones de sensibilité environnementale
Le long de votre itinéraire, vous allez traverser des zones de sensibilité liées à la présence d’une espèce ou d’un milieu particulier. Dans ces zones, un comportement adapté permet de contribuer à leur préservation. Pour plus d’informations détaillées, des fiches spécifiques sont accessibles pour chaque zone.
Grand tétras
Le Grand Tétras est une espèce emblématique des forêts de montagnes françaises. Son apparence et son comportement font de lui un oiseau très atypique. Pouvoir l’observer relève d’un vrai défi, tant cet oiseau est discret, mais s’avère être un souvenir mémorable.
En hiver, son activité est réduite au minimum. Il passe la quasi-totalité de la journée perché dans un arbre et consomme uniquement des aiguilles de sapin. Une nourriture très peu énergétique. Cette période est critique pour sa survie. Un oiseau subissant un dérangement régulier va puiser dans ses maigres réserves et finir par en subir les conséquences. Sa sensibilité à la prédation aura augmenté, ou bien il dépérira simplement à cause du manque d’énergie. Une autre période critique prend place du printemps au début de l’été avec la couvaison. Si la poule est surprise plusieurs fois, elle va abandonner le nid et laisser ses poussins seuls, sans protection. La survie des jeunes étant déjà très faible naturellement, ce phénomène accentue, d’autant plus, ce risque de mortalité chez les jeunes oiseaux.
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Grand tétras en période de nidification sont principalement les pratiques sportives terrestres comme la randonnée, le ski, le VTT.
En hiver, son activité est réduite au minimum. Il passe la quasi-totalité de la journée perché dans un arbre et consomme uniquement des aiguilles de sapin. Une nourriture très peu énergétique. Cette période est critique pour sa survie. Un oiseau subissant un dérangement régulier va puiser dans ses maigres réserves et finir par en subir les conséquences. Sa sensibilité à la prédation aura augmenté, ou bien il dépérira simplement à cause du manque d’énergie. Une autre période critique prend place du printemps au début de l’été avec la couvaison. Si la poule est surprise plusieurs fois, elle va abandonner le nid et laisser ses poussins seuls, sans protection. La survie des jeunes étant déjà très faible naturellement, ce phénomène accentue, d’autant plus, ce risque de mortalité chez les jeunes oiseaux.
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Grand tétras en période de nidification sont principalement les pratiques sportives terrestres comme la randonnée, le ski, le VTT.
- Domaines d'activités concernés :
- Manifestation sportive, Terrestre
- Périodes de sensibilité :
- janv.févr.marsavr.maijuindéc.
- Contact :
Lieux de renseignement
Office de Tourisme Haut-Jura Grandvaux
7 place Simone Veil, 39150 SAINT-LAURENT-EN-GRANDVAUX
Accès routiers et parkings
Depuis Saint-Laurent-en-Grandvaux, prendre la direction de Foncine-le-Bas par la D437. Dans le village du Lac-des-Rouges-Truites, tourner à droite en direction du chalet du Bugnon.
Stationnement :
Parking au Chalet du Bugnon au Lac-des-Rouges-Truites
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