Merveilles du Grandvaux - 80N
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Merveilles du Grandvaux - 80N
Nanchez

Merveilles du Grandvaux - 80N

Lacs, rivières et cascades
Naturel
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Comme par magie, l'alternance de forêts, de pâtures et de lacs atténue la notion de distance et la difficulté de ce parcours spécial VTT électrique.

De la combe tourbeuse du Nanchez au lac de l'Abbaye, chemins blancs et sentiers escarpés à l'écart des habitations, vous emmènent à la découverte du relief grandvallier et de ses points de vue admirables.

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Itinéraire officiel - réseau Geotrek du Parc naturel régional du Haut-Jura

Les 24 patrimoines à découvrir

  • Histoire et Patrimoine

    Évolution de la vie, évolution du bâti.

    La maison rurale fut d'abord celle de l'agriculteur-éleveur à l'intérieur de laquelle cohabitaient hommes et animaux. À partir du 18ème siècle, la spécialisation fromagère et la mise en commun du lait dans les structures coopératives, "les fruitières", font sortir l'agriculteur d'une économie d'autosubsitance. Du point de vue du bâti, la ferme tend à s'agrandir : on la rehausse d'un étage pour y aménager des chambres, on la dote parfois d'une seconde étable pour être en mesure d'accueillir plus d'animaux...
  • Milieux naturels

    La tourbière de Nanchez

    Une tourbière se caractérise par un sol constamment gorgé d’eau, où se forme et s’accumule de la tourbe, une sorte de litière constituée de la végétation morte, mal décomposée du fait de l’absence d’oxygène. Les conditions de vie dans ces milieux sont exigeantes… ce qui oblige les espèces qui y vivent à s’adapter à l’omniprésence de l’eau, à un climat plutôt froid et à la composition chimique du sol.
  • Flore

    La Droséra

    Cette petite plante carnivore piège les insectes grâce à des cils recouverts d’une glue contenant une substance digestive. Cette adaptation lui permet de se procurer des apports complémentaires dans ce milieu où les racines peinent à trouver suffisamment de nourriture.
  • Flore

    L'Airelle des marais

    Cette fausse myrtille apprécie les milieux légèrement acides, c’est pourquoi on la trouve dans les tourbières bombées ou en cours d’assèchement. Ses baies comestibles, à maturité en milieu d’été, sont moins sucrées que celles de la myrtille.
  • Flore

    La Callune

    Ses racines produisent des sécrétions toxiques qui limitent l’implantation d’autres espèces. Elle est souvent appelée fausse bruyère.
  • Faune

    Le Cuivré de la bistorte

    C’est un papillon typique des zones boréales, que l’on peut trouver ici! Les adultes volent essentiellement en mai et début juin. Les femelles pondent en se glissant à reculons sous les feuilles de la Renouée de la bistorte. La chenille effectue tout son développement sur la face inférieure de cette feuille.
  • Flore

    La Linaigrette

    Leur houppe soyeuse ne correspond pas au stade de la fleur, mais à celui du fruit : les aigrettes qui la constituent servent au transport des graines par le vent.
  • Flore

    Le Pin à crochet

    Dans le Jura, on le trouve presque exclusivement en tourbière : sa silhouette touffue, ses aiguilles courtes et groupées par deux, le crochet situé sur les écailles de ses cônes sont les caractères permettant de l’identifier.
  • Milieux naturels

    Tourbière du Bief de Nanchez

    Laissez-vous guider: vous n’avez qu’à suivre le sentier de découverte des tourbières aménagé par le Parc National Régional du Jura pour mieux connaître la richesse de ce milieu humide. Traversez la forêt, cheminez sur un parcours en caillebotis, découvrez et observez les plantes propres à ce milieu grâce aux panneaux d’information qui le jalonnent. Ici, le milieu acide, froid et humide favorise l’épanouissement de plantes comme l’orcette, la myrtille, la callune, les sphaignes, l’andromède sous-arbrisseau protégé, le saule à cinq-étamines ou encore les pins à crochets. Vous pourrez varier les découvertes au gré des saisons. C’est quoi exactement, une tourbière? «Une tourbière se caractérise par un sol constamment gorgé d’eau, où se forme et s’accumule de la tourbe, une sorte de litière constituée de la végétation morte, mal décomposée du fait de l’absence d’oxygène»(www.life-tourbieres-jura.fr). Ce milieu d’un grand intérêt écologique est aussi exigeant pour les espèces qui y vivent, qui doivent s’adapter à des conditions de vie particulières (omniprésence de l’eau, climat plutôt froid et composition chimique du sol).
  • Histoire et Patrimoine

    Atelier de tournerie

    Plus qu'un lieu de travail, un abri rudimentaire pour les artisans, l'atelier est, pour les gens qui l'ont occupé, un lieu investi, à la fois intime et public.
    Entre les outils usés, sur les plans de travail où des sciures de bois sont repoussées d'un coup de paume, c'est là que s'est construit le savoir-faire dans la clarté des grandes fenêtres poussiéreuses.
  • Histoire et Patrimoine

    Le couronnement des murets

    Le faîtage des murs en pierres sèches, ou couronnement, permet de maintenir et de stabiliser les parements (parties visibles d'un mur). Sans quoi les pierres, notamment du haut, finiraient par tomber. Ici, on peut observer une technique de faîtage où de grandes pierres plates relativement fines, appelées lauses, sont posées verticalement, et sont souvent stabilisées par des cales dans les intervalles.
  • Point de vue

    Belvédère Sur le Fort

    Déjà porté sur la carte de 1835 sous le vocable « La Roche du Fort», le belvédère, défriché il y a quelques années, s’ouvre sur la Combe d’Anchey (Prénovel-Les Piards), le Bief de Nanchez et la tourbière. Au sud-est, se dévoile la Haute-Chaîne du Jura de la Dôle au Reculet.

    Au pied du Belvédère, plusieurs entonnoirs, dont l’un est très visible à proximité de la route, forment des trop-pleins lors des crues. Lorsque les scieries situées à l’aval fonctionnaient, les usiniers tentaient de les boucher afin de conserver assez d’eau pour leurs roues hydrauliques. Quel que soit son débit, le bief se perd dans le karst derrière le hameau de Chaux-des-Prés. Ses eaux rejaillissent 27 km plus loin, dans la vallée de la Bienne.
  • Milieux naturels

    Les pelouses sèches

    Un sol peu épais, une exposition favorable au soleil, une faible capacité à retenir l’eau et la quasi-absence d’amendements. Les pelouses sèches regorgent cependant de biodiversité : germandrée des montagnes, thym serpolet, sermontain et orchis militaire sont autant d’espèces floristiques que l’ont peut rencontrer en prenant le temps d’observer ce petit monde. Mais on n’observe qu’avec les yeux ; plus d’un quart des espèces protégées en France sont issues de ce milieu. Les pelouses sèches sont en effet en régression à cause de l’embroussaillement, dû à l’abandon de ces terres plus difficiles à exploiter.
  • Faune

    La Rousserolle verderolle

    Oiseau migrateur, ce passereau passe l’hiver en Afrique, au sud de l’Equateur. Il ne revient dans les montagnes du Jura qu’entre la mi mai et le début août. La rousserolle verderolle habite les prairies plus ou moins marécageuses aux herbes hautes et parsemées de buissons, où le mâle se perche pour chanter. Le nid est confectionné d’herbes sèches accrochées à mi-hauteur des tiges herbacées. Cette espèce est exclusivement insectivore (se nourrit d’insectes). Championne d’Europe de l’imitation, un mâle de rousserolle verderolle peut imiter 80 espèces dans son chant, avec un record connu à 212 !
  • Histoire et Patrimoine

    Mitoyenneté

    Dans les hameaux, la mitoyenneté des fermes correspond parfois à une cohabitation familiale (plusieurs frères par exemples). Pour autant, chaque famille restait indépendante et produisait ses propres besoins. La sobriété de l’architecture domestique ne doit pas cacher la qualité des constructions: l’utilisation de la pierre de taille pour les encadrements de fenêtres, la qualité de la charpente, les linteaux taillés et millésimés…
  • Histoire et Patrimoine

    Le moulin et la scierie de l'Abbaye en Grandvaux

    Dès le Moyen-âge, les moines ont su utiliser la force motrice de la perte du lac pour faire fonctionner les meules du moulin de l’Abbaye, situé à l’emplacement de la scierie actuelle. Une roue à eau était entraînée par une chute d’eau verticale de 8 mètres. Cette première installation devait certainement manquer de puissance et une digue de 5 mètres fut vraisemblablement élevée afin d’accroître la hauteur de chute et le volume d’eau du lac. Le niveau du lac au VIème siècle n’aurait donc rien de comparable avec le niveau actuel, ce qui rend difficile la localisation du premier prieuré. A la disparition du moulin (par manque de grain à moudre!), une scierie est installée sur le même site et des turbines remplacent la roue. Les eaux calmes du lac deviennent source d’énergie et les installations encore en place témoignent des différentes activités qui se sont développées autour du lac.
  • Faune

    Le Héron cendré

    Facilement reconnaissable, le héron cendré peut être observé lorsqu’il chasse au bord du lac et dans le marais à la recherche d’amphibiens et de poissons, ou encore en plein milieu des prairies agricoles à l’affût des campagnols. Comme tous les hérons, il vole avec le cou replié et les pattes tendues, ce qui le différencie des cigognes et des grues. Il niche en petite colonie, une héronnière.
  • Histoire et Patrimoine

    Site et église de l'Abbaye

    On attribue aux moines de Saint-Claude l'établissement, au 6ème siècle, d'un monastère au sud-ouest du lac de l'Abbaye sur l'île dite de sur la Motte. Puis, probablement tombé en désuétude pendant plusieurs siècles, un second monastère lui succéda au 12ème siècle (1172) édifié au nord-est du lac à l'emplacement actuel du hameau de l'Abbaye par les chanoines de l'abbaye d'Abondance (augustins de Haute-Savoie). Le statut d'abbaye, desservie par un abbé particulier, a demeuré un siècle, jusqu'à ce que le monastère fasse l'objet d'un échange de biens entre l'abbé d'Abondance et celui de Saint-Claude. De nouveau dépendante de l'abbaye de Saint-Claude, l'abbaye du Grandvaux recouvre un statut de prieuré. Des constructions fortifiées au 12ème siècle auxquelles on accédait par un pont-levis, il subsiste aujourd'hui un ancien bâtiment de ferme (appelé La Joséphine du nom de l'ancienne propriétaire des lieux), un presbytère et une église, dédiée à Notre-Dame de la Nativité, à l'instar de celle d'Abondance. Le site est classé depuis le 15 septembre 1966.Un site à découvrir à travers une déambulation en 4 tableaux, évoquant l'histoire du site. Source : Grandvaux et Malvaux, édition PNR du Haut-Jura
  • Histoire et Patrimoine

    Le jardin du temps et de l'espace

    «Un jardin … comme un labyrinthe qui projette au-delà du temps et de l’espace.» ainsi témoigne Amy O’Neill, artiste conceptrice de ce jardin. Souhaité par la commune de Grande Rivière, durement éprouvée par les deux guerres mondiales, ce jardin paysager, en rassemblant les monuments aux morts de 14 – 18 et de 39 – 45, est un lieu à la mémoire de l’ensemble des guerres passées ou actuelles au travers du monde. En invitant à la déambulation, ce lieu propose aux visiteurs une réflexion autour de la notion de paix et de la capacité des peuples à s’unir et à résister aux extrémismes.
  • Point de vue

    Belvédère du Moulin

    Le belvédère du Moulin, en bordure de val, offre une vue d’ensemble sur la presque totalité du lac de l’Abbaye. Vous pourrez appréhender l’évolution du paysage autour du lac au fil des siècles (panneau d’interprétation).
  • Milieux naturels

    Tourbière des Douillons

    La tourbière des Douillons, d'une surface de 21 hectares, est apparue il y a environ 7 000 ou 8 000 ans, sur les rives d'un petit lacs, comme en témoignent les coquilles de mollusques aquatiques trouvés dans les sondages, sous la tourbe. Son développement a fini par le combler intégralement. Les forts suintements en provenance du versant ont également favorisé l'accumulation de tourbe sur la pente, lui conférant une topographie originale. A partir des années 1850 et jusque dans les années 1970, la tourbe a été exploitée, d'abord pour le chauffage domestique, puis pour fournir de la tourbe horticole. Dans les années 1960, comme dans de nombreux autres milieux humides du massif, un vaste réseau de drainage a été creusé, interceptant les suintements et évacuant également les eaux de surface. Ces travaux avaient pour but d'étendre les zones agricoles. Cet assèchement de surface a accéléré la fermeture du milieu en permettant aux saules et aux épicéas de se développer. Toutefois, certaines zones préservées accueillent encore des milieux de bas-marais d'une grande richesse faunistique et floristique. D’importants travaux de réhabilitation ont été menés par le Parc du Haut-Jura en 2016 pour redonner à la tourbière un fonctionnement plus naturel. Depuis, les résultats sont déjà probants, notamment pour les libellules avec le développement d'une espèce rare et menacée au niveau européen, la Leucorrhine à gros thorax (Leucorrhinia pectoralis).
  • Milieux naturels

    Tourbière des Douillons

    La tourbière des Douillons, d'une surface de 21 hectares, est apparue il y a environ 7 000 ou 8 000 ans, sur les rives d'un petit lacs, comme en témoignent les coquilles de mollusques aquatiques trouvés dans les sondages, sous la tourbe. Son développement a fini par le combler intégralement. Les forts suintements en provenance du versant ont également favorisé l'accumulation de tourbe sur la pente, lui conférant une topographie originale. A partir des années 1850 et jusque dans les années 1970, la tourbe a été exploitée, d'abord pour le chauffage domestique, puis pour fournir de la tourbe horticole. Dans les années 1960, comme dans de nombreux autres milieux humides du massif, un vaste réseau de drainage a été creusé, interceptant les suintements et évacuant également les eaux de surface. Ces travaux avaient pour but d'étendre les zones agricoles. Cet assèchement de surface a accéléré la fermeture du milieu en permettant aux saules et aux épicéas de se développer. Toutefois, certaines zones préservées accueillent encore des milieux de bas-marais d'une grande richesse faunistique et floristique. D’importants travaux de réhabilitation ont été menés par le Parc du Haut-Jura en 2016 pour redonner à la tourbière un fonctionnement plus naturel. Depuis, les résultats sont déjà probants, notamment pour les libellules avec le développement d'une espèce rare et menacée au niveau européen, la Leucorrhine à gros thorax (Leucorrhinia pectoralis).
  • Point de vue

    Belvédère du Duchet

    Perché à 971 m sur l’anticlinal du Bois de la Joux, il domine la Combe d’Anchey ou Combe de Prénovel-Les Piards. Pour les géologues, il s’agit d’une véritable combe: creusée dans un mont par l’érosion. La douceur des pentes est due à l’action du glacier qui a déposé des moraines. Cette combe est aujourd’hui exploitées en prairies de fauche. Le Bief de Nanchez, ou Bief d’Anchey, qui serpente au pied du belvédère, a retrouvé ses méandres depuis 2016, ce qui freine l’écoulement des crues au bénéfice de la biodiversité et des rivières en aval. Vous découvrez du nord au sud différents hameaux : Prénovel de Bise, les Belbenoîts, les Janiers (avec l’église), Les Fans et Les Berrods. Au Sud, on distingue le village des Piards, aux maisons beaucoup plus groupées.
  • Histoire et Patrimoine

    Chapelle des Piards

    Faites une pause dans votre parcours pour découvrir la chapelle des Piards en contrebas du village : regardez, admirez. Ici, plus de 500 ans d’histoire défilent devant vous! Erigée en 1484, la chapelle Saint-Rémi des Piards témoigne, de la manière la plus authentique qui soit, du temps durant lequel des colons suisses sont venus défricher la combe d’Anchez. Son clocher abrite d’ailleurs la plus ancienne cloche en activité dans le diocèse de Saint-Claude, bénie le 4 décembre 1488. Le point pratique Autrefois les voies de communications pour assister aux offices pouvaient être complexes en raison des chemins difficiles d’accès. Aujourd’hui, il est possible de visiter la chapelle tous les vendredis soirs : RDV à 18h sur place. En attendant, écartez-vous du chemin pour découvrir ce monument.

Description

Au départ de PRENOVEL, suivre la direction de la tourbière afin de traverser le hameau et arriver à La Vigne.
  1. Sur le chemin blanc à gauche, passer Le pont des Janiers et rejoindre La Passerelle.
  2. Une halte découverte de la tourbière est possible sur votre droite (accès interdit aux vélos).
  3. Après avoir traversé le champ, rejoindre PRÉNOVEL DE BISE par la route goudronnée à droite et se diriger à droite sur la route déparmentale vers Le Pontet.
  4. Par un sentier escarpé pentu, arriver au BELVÉDÈRE SUR LE FORT.
  5. Le sentier, à gauche, rejoint une route forestière. L'emprunter vers la gauche pour pénétrer de nouveau dans le bois et arriver à BARAQUE CLÉMENCE.
  6. Tourner à droite sur la route forestière, passer La Joux derrière et arriver à LES BEZ.
  7. Contourner le lac par La Motte pour arriver au lieu-dit ABBAYE EN GRAND VAUX.
  8. Dépasser le parking de l’Abbaye en Grandvaux sur quelques dizaines de mètres avant de tourner 2 fois consécutives sur la droite pour prendre de la hauteur jusqu’à LA TERAILLA puis  Les Cornes. Un sentier forestier vous emmènera jusqu’au BELVEDERE DU MOULIN.
  9. Continuer le parcours sur une succession de sentiers forestiers et chemins blancs, via Le Grand Curtil.
  10. De nouveau un relief pour vététistes aguerris mène au belvédère de la VIERGE D'ÉCUVET (ne pas hésiter à descendre du vélo).
  11. Rejoindre CHATEAU DES PRES par les sentiers balisés en bordure des lotissements puis tourner à droite en direction de La Loye.
  12. Sur votre gauche, entamer la traversée du Bois des Prélions et s'approcher, après Les Culottes, du belvédère des Douillons.
  13. Le passage en bordure de tourbière vous mène à CHAUX DES PRES, que vous traversez jusqu'Au Petit Pont.
  14. Sur votre gauche, une succession de montées plus ou moins raides jusqu'au Bois du Duchet vous permet d'accéder à pied au BELVEDERE DU DUCHET puis de rejoindre prudemment Sous Duchet.
  15. Tourner à gauche pour retrouver à L'Arête la route forestière et très rapidement le Pont de l'Arête sur votre droite.
  16. A Cramoiron, traverser les pâturages puis LES PIARDS jusqu'au départ des randonnées.
  17. Suivre la direction de PRENOVEL : passer par Les Huit Fourches et La Brire. A proximité du swin golf, traverser avec prudence la route forestière.
  18. Rejoindre PRENOVEL sur la droite après LES ROCHATS.
  • Départ : Prénovel (Nanchez)
  • Arrivée : Prénovel (Nanchez)
  • Communes traversées : Nanchez et Grande-Rivière-Château

Profil altimétrique


Zones de sensibilité environnementale

Le long de votre itinéraire, vous allez traverser des zones de sensibilité liées à la présence d’une espèce ou d’un milieu particulier. Dans ces zones, un comportement adapté permet de contribuer à leur préservation. Pour plus d’informations détaillées, des fiches spécifiques sont accessibles pour chaque zone.

Grand tétras

Le Grand Tétras est une espèce emblématique des forêts de montagnes françaises. Son apparence et son comportement font de lui un oiseau très atypique. Pouvoir l’observer relève d’un vrai défi, tant cet oiseau est discret, mais s’avère être un souvenir mémorable.

En hiver, son activité est réduite au minimum. Il passe la quasi-totalité de la journée perché dans un arbre et consomme uniquement des aiguilles de sapin. Une nourriture très peu énergétique. Cette période est critique pour sa survie. Un oiseau subissant un dérangement régulier va puiser dans ses maigres réserves et finir par en subir les conséquences. Sa sensibilité à la prédation aura augmenté, ou bien il dépérira simplement à cause du manque d’énergie. Une autre période critique prend place du printemps au début de l’été avec la couvaison. Si la poule est surprise plusieurs fois, elle va abandonner le nid et laisser ses poussins seuls, sans protection. La survie des jeunes étant déjà très faible naturellement, ce phénomène accentue, d’autant plus, ce risque de mortalité chez les jeunes oiseaux.

Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Grand tétras en période de nidification sont principalement les pratiques sportives terrestres comme la randonnée, le ski, le VTT.
Domaines d'activités concernés :
Manifestation sportive, Terrestre
Périodes de sensibilité :
janv.févr.marsavr.maijuindéc.
Contact :
Parc naturel régional du Haut-Jura
29 Le Village
39310 Lajoux
03 84 34 12 30
www.parc-haut-jura.fr

RNR des tourbières du Bief du Nanchez

La Réserve naturelle régionale des Tourbières du Bief du Nanchez représente 49 hectares et toute une mosaïque paysagère (milieux prairiaux, forestiers et tourbeux). Situé au fond de la Combe du Nanchez, le complexe tourbeux est traversé par les cours d’eau du Nanchez et de Trémontagne. Inscrit au site Ramsar « Tourbières et lac de la montagne jurassienne », il constitue un ensemble caractéristique des tourbières du Haut-Jura.

> L’accès, la circulation et le stationnement des véhicules et engins, motorisés ou non motorisés, sont interdits sur le territoire de la Réserve Naturelle,
> Les chiens et animaux domestiques doivent être tenus en laisse à l’intérieur de la Réserve Naturelle. La circulation et le stationnement des chiens et animaux domestiques sont strictement interdits en dehors des sentiers balisés et voies réservées à cet effet,
> Sur l’ensemble de la Réserve Naturelle, le bivouac, le campement sous tente, dans un véhicule ou sous tout autre abri est interdit,
> Sur l'ensemble de la Réserve Naturelle, toute cueillette est interdite,
> La pratique des activités sportives ou de loisirs est interdite en dehors des itinéraires autorisés à la circulation et au stationnement des personnes.
> Les manifestations sportives ou de loisirs sont interdites sur l’ensemble du territoire de la Réserve Naturelle. Toutefois, des dérogations peuvent être accordées par le (la) Président(e) du Conseil régional après avis du Comité Consultatif et du Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel.
Domaines d'activités concernés :
Aerien, Aquatique, Manifestation sportive, Souterrain, Terrestre, Vertical
Périodes de sensibilité :
janv.févr.marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.oct.nov.déc.
Contact :
Conservateur : Laurane Palanchonl.palanchon@parc-haut-jura.fr Parc Naturel Régional du Haut-Jura29 le village39310 LAJOUX03 84 34 12 30

Recommandations

Parcours accessible au VTTAE avec changement de difficulté : parcours rouge

Avant de partir, nous vous conseillons de lire la rubrique Conseils aux randonneurs, de vous équiper convenablement, de porter un casque, de vérifier l’état de votre vélo, de prendre de quoi vous ravitailler et réparer (kit crevaison, maillon rapide, clés 6 pans…), de consulter la météo et de prendre un téléphone chargé. Dans tous les cas, ne surestimez pas vos forces et ne vous engagez pas sur un sentier trop technique pour vous. Sachez renoncer, faire demi-tour ou descendre du vélo.

Dans le Jura, les parcours VTT empruntent des chemins et sentiers dans des propriétés privées qui peuvent également servir à d’autres activités. Merci de respecter les lieux en restant sur les sentiers balisés et en respectant les autres usagers qui sont prioritaires (randonneurs, vététistes, cavaliers, mais aussi exploitants forestiers, vignerons, bergers…). Il convient donc d’adapter et de maîtriser sa vitesse.

Le Jura est un département nature et sauvage, merci de respecter l’environnement dans lequel vous évoluez : Ne jeter aucun détritus, ne faites pas de feu, ne cueillez pas les fleurs sauvages. Respectez la tranquillité du bétail et de la faune sauvage en restant éloigné des troupeaux, en tenant votre chien en laisse et en refermant les barrières derrière vous. Renseignez-vous sur les zones de protection de biotope, réserves naturelles ou zone Natura 2000 dans lesquelles des restrictions sont applicables.

En cas de travaux forestiers (abatage, débardage…), de travaux sur les sentiers (réfection de sentier, débroussaillage…) ou de zones de chasse en cours ou battue pour votre sécurité, sachez renoncer et faire demi-tour.
VTTAE
Ce parcours est accessible aux VTT à assistance électrique. Restez toutefois vigilant sur les sentiers, ne vous surestimez pas et restez prudent avec les autres usagers qui sont prioritaires sur vous.

Lieux de renseignement

Office de Tourisme Haut-Jura Grandvaux

7 place Simone Veil, 39150 SAINT-LAURENT-EN-GRANDVAUX

https://www.haut-jura-grandvaux.com/fr/info@haut-jura-grandvaux.com03 84 60 15 25

Accès routiers et parkings

Depuis Saint-Laurent, prendre la D437 en direction de Chaux-des-Près puis suivre Prénovel par la D28.

Stationnement :

Parking de la Mairie de Prénovel

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